|
Sébastien Fague
|
|
|
Articles de presse et prises de positions: Dans l'édition du "Journal de la Broye" , le 28.02.2008 Dans l'édition électronique de 24H du 02.11.2007 Nord-Broye Payerne: nouveau directeur pour l'écolePAYERNE | 17h19 Enseignant à Lausanne, Sébastien Fague remplacera dès janvier, Frédy-Daniel Grossen à la tête du secondaire payernois. ![]()
02 Novembre 2007 | 17h19
Sébastien Fague, 34 ans, prendra la tête de l'Etablissement secondaire payernois au 1er janvier, prochain. Originaire de la Broye, habitant Pully, enseignant au Collège secondaire de l'Elysée à Lausanne, ce père de deux enfants, adepte de parties d'échecs et de bande dessinée, remplacera Frédy-Daniel Grossen à la tête d'une école secondaire payernoise qui compte 800 élèves, 100 collaborateurs et tourne avec 10 millions de budget.
A lire bientôt sur mon blog Réflexion au sujet de l'initiative parlementaire sur les fusions de communes. Lettre de fin de législature lue au CC: Monsieur
le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillères et Conseillers, C’est
avec un brin d’émotion que je m’adresse à vous ce soir (après ce
qui vient d’être dit) mais j’ai
toujours tenu devant vous et devant les citoyens, un discours optimiste et
entraînant, des propos plein d’ enthousiasme parfois, transparent et résolument
positif, tourné vers l’avenir, ce n’est pas aujourd’hui que cela va
changer ! Même si des sentiments de tristesse et de déception bien compréhensibles
- vous me l’accorderez - peuvent parfois pointer le bout de leur nez,
c’est la volonté de rebondir et de tirer profit de la situation pour ne
pas s’arrêter là, qui m’anime encore et toujours en cette fin de législature.
Ce n’est donc pas un échec ou une désillusion momentanée qui doivent
nous faire changer de cap ou de choix, nous devons toujours viser le moyen
et le long terme même si le court nous donne parfois tort, c’est sur la
longueur que le travail porte ses fruits j’en reste convaincu ! Comme
dans un match de foot, lors
d’une élimination suite à l’épreuve des tirs aux buts le sport peut
paraître injuste avec son lot d’incertitude, il en va un peu de même
en politique et rien
n’est jamais acquis définitivement, la démocratie semble parfois
cruelle et désobligeante certes, mais les règles du jeu sont ainsi
faites et j’en connaissais la cruauté maintes fois éprouvée par
d’autres avant moi lorsque j’ai décidé de commencer l’aventure et
je ne regrette rien ! J’ai
eu l’occasion de répéter
à plusieurs reprises lorsque j’avais à assumer certain choix stratégiques
ou à défendre certaines idées, que mon objectif prioritaire n’était
pas ma réélection mais bien plutôt que mon dicastère soit positivement
réformé avec une dynamique moderne de gestion. Je crois que cet objectif
est atteint et j’en suis fier. Je
me suis donc efforcé de démontrer qu’une administration publique peut
être tout autant voire plus efficace que le privé, que nous nous devions
de trouver des solutions - et il en existe toujours- plutôt que de se
perdre en soucis de problèmes nouveaux, que la transparence est gage de
confiance et que c’est avec elle que nous pouvons bâtir des relations
saines tant avec les citoyens qu’avec l’ensemble des partenaires
politiques. Enfin que le changement doit être perçu comme une opportunité
plutôt que comme un danger menaçant ! Mais
si j’ai eu un plaisir
immense d’avoir pu assumer cette noble tâche à l’exécutif de notre
Ville et que j’ai réussi à mettre en œuvre cette politique c’est grâce
à la Municipalité actuelle qui m’a suivi et soutenu
et su me laisser explorer des voies nouvelles même si parfois mon
appétit de jeunesse voulait brûler les étapes, ainsi c’est toujours
avec un esprit de respect mutuel et de totale collégialité que nous
avons défendu les projets qui nous tenaient à cœur et tenu le cap des réformes.
C’est
également grâce à vous, conseillères et conseillesr communaux qui
m’avez fait confiance et encouragé dans telle ou telle piste de réflexion
tout au long de mon mandat ou en accordant votre crédit et des crédits
aux nombreux préavis que j’ai eu à défendre au nom de la Municipalité.
Je suis content également que le concept d’autofinancement des
infrastructures soit un peu plus compris –euh non pardon je dois dire
que le financement par l’emprunt et le remboursement par les taxes soit
mieux assimilé – mais surtout
je suis heureux que l’on ait investi à bon escient dans nos réseaux
souterrains et de surface, gage d’une volonté de viser le long terme. C’est
surtout grâce à mon groupe
de l’ C’est
enfin grâce à ma famille refuge absolu lorsque les vents contraires
soufflaient, havre de patience lorsque la nième séance s’éternisait,
laboratoire de mes idées lorsque je devais les tester, soutien
inconditionnel dans mes projets, appui indéfectible tout au long de cette
législature. Mon ressort politique n’est donc –vous l’avez compris - de loin pas
cassé et l’envie de poursuivre l’aventure encore et toujours
m’habite plus que jamais et c’est sans doute dans mes valeurs qui me
font dire que la vie -la vraie -ne s’arrêtera jamais qu’à des considérations
politiques mais sait rebondir des opportunités qui s’offrent à elle
que je puiserai encore cet optimisme qui me pousse en avant. Je
vous quitte donc pour mieux
vous rejoindre et souhaite à mon successeur Jean-François Maire ainsi
qu’à la nouvelle Municipalité plein succès dans ses entreprises,
d’avoir la volonté de projeter la ville de Pully dans une dynamique
pro-active de façon constructive avec tous les acteurs concerné et la
volonté d’aller de l’avant afin de trouver des solutions innovantes,
consensuelles et transparentes. Il est en effet toujours
plus aisés de ce plaindre en regardant le passé que de bâtir
courageusement l’avenir, c’est cette audace et cette dynamique appuyée
par un conseil communal vrai partenaire de notre futur commun osant
prendre les bonnes décision au bon moment que
je vous souhaite et forme mes vœux pour que nous puissions
longtemps encore être fier et heureux de vivre de diriger et de
participer à l’émancipation de la Ville de Pully.
Chronique du Temps du 07.04 signée Marie-Hélène Miauton cette chronique a pour titre cette semaine: "La politique des blocs" Et revient sur la situation dramatique de Pully, elle sera disponible bientôt sur mon site... Article du Régional du 06.04 Article 24H du 06.04 Pully devra-t-elle réélir sa Municipalité?ÉLECTIONS Le matériel de vote semble avoir été incomplet lors du deuxième tour. L’Union pulliérane recourt contre la décision des urnes, qui a vu son municipal non réélu pour une cinquantaine de voix. ALAIN DÉTRAZ
Plusieurs personnes n'auraient pas reçu le matériel de vote
complet pour le deuxième tour des élections à la Municipalité de
Pully. Sur la base de différents témoignages, l'Union pulliérane
(UP) a déposé hier un recours contre le scrutin du week-end dernier.
La procédure pourrait reconduire les Pulliérans sur le chemin des
urnes, d'ici à cet automne (lire l'encadré). Article 24H du 04.04 Article 24H du 03.04 Article dans le Régional du 23.02.06 Pour voir le texte des autres candidats pulliérans suivre le lien ci-dessus Ci-dessous mon texte répondant à la question: "quels sont mes objectifs prioritaires au niveau socio-économique pour la législture?" Article sur un site laboratoire de média Cliquez sur le lien pour visualiser l'article Concerne: cette campagne à la municipalité
Courrier des lecteurs 24H du 12.10.2005 Concerne : l’article sur le bénéfice de 400mios des communes vaudoises Si mon tonton tond ton tonton Dans un article paru on ne peut plus à propos c'est-à-dire quelques jours avant le projet de budget cantonal 2006, on pouvait lire que les communes vaudoises devaient encore fort bien se porter puisque que le montant de leurs bénéfice se monteraient à quelques 400 mios. Leur coussin de sécurité financière est donc encore très (trop) moelleux et justifie pleinement la modeste ponction solidaire prévue à hauteur de 28 mios que l’état à planifier afin de tendre à l’équilibre budgétaire cantonal pour 2007. Mais regardons une fois la réalité en face et abordons les problèmes à l’endroit où ils peuvent se résoudre sans toujours obliger les communes à les assumer. Car la réalité n’est pas celle que certain veulent bien décrire, les communes sont déjà et de façon croissante solidaire de l’Etat la simple répartition des coûts de la facture sociale en est l’illustration parfaite, alors, lorsque l’on parle de ce bénéfice cumulé des communes comme d’un fruit illégitime, il faut bien comprendre qu’il s’agit en fait des résultats avant amortissement, cela n’a pas de sens de les considérer comme bénéfices dans la mesure où les amortissements des investissement sont une obligation de pure logique comptable. Et si l’on veut comparer ce qui est comparable, il est piquant de noter au passage que si l’on applique les mêmes critères que ceux employés pour faire la une de votre article, au budget 2006 de l’Etat, le déficit de 54 mios annoncés, se transforme en bénéfice de 80 mios. Où est donc la nécessité de ponctionner les communes ? Ce simple constat devrait conduire le gouvernement à renoncer à cette mesure d’assainissement sur le dos des communes et par elles sur celui de l’ensemble des contribuables vaudois. Mais en aura-t-il vraiment le courage ? Pourtant, ce n’est qu’avec des communes saines et fortes (et peut-être redimensionnées) que le canton trouvera le remède à ses maux. Courrier des lecteurs 24H suite utilisation du frein à l'endettement Non, Monsieur Nordmann ! Ce que j’aime dans vos propos, Monsieur
Nordmann, c’est l’honnêteté et la rigueur intellectuelle qui vous
ont poussé à rétablir la Vérité (du moins la vôtre) sur la genèse
des débats qui ont conduit à rédiger le fameux article 165 de la
constitution, et sur l’interprétation qu’il convient de lui donner. Votre prise de position dans 24heures du 14 août
décrit les concessions faites par chacune des parties. Selon vous la
gauche acceptait le principe du « mécanisme contraignant »,
vous êtes mieux placé que moi pour en juger, et la droite concédait le
terme « mesures d’assainissement » plutôt que « mesures
d’économie », laissant bien naïvement le champ libre aux autorités
futures pour jouer de façon plus ou moins machiavélique avec l’interprétation
de ce concept. Sincèrement, peut-on prêter crédit à votre propos quand, en fouillant dans les archives des débats de la constituante sur ce sujet précis, alors que vous faisiez l’apologie de ce compromis, vous disiez « les citoyens sont appelés à peser la prestation et son prix. » (bulletin n°49, p22) ? Par cette déclaration, et l’utilisation du terme prestation vous indiquiez bien le sens que nous donnions à cet article et son interprétation, voulue et décidée lors de négociations menées,-d’où l’emploi du nous-, non seulement par MM Bühlmann, Recordon, Leuba et vous, mais aussi, cela vous a sans doute échappé, par le soussigné représentant la position du groupe à propos, qui avait prôné, dès les premiers débats, le retour à de véritables mesures de frein à l’endettement. Reste que la concession de la droite lors de ces fameuses négociations, dont j’étais un des émissaires, était le petit équilibre plutôt que le grand. Cela et rien d’autre ! C’est ce point qui a occupé la majeure partie des discussions menées autour de la piscine de M. Recordon. Je suis obligé de constater –de regretter devrais-je dire- que ce compromis de bonne foi est désormais dénaturé par une partie des négociants pour permettre une exploitation politique aux conséquences désastreuses. En toute honnêteté, le point de vue de
Jean-François Leuba est conforme à mon vécu de constituant et je déplore
l’utilisation perverse d’un mécanisme qui ne devait en aucun cas
permettre d’opposer des impôts à des impôts. Concerne la vente des actions de CVE Romande Energie Etonnements d’automne Je m’étonne que la ville de Lausanne mène en ce moment avec le canton, une vaste « opération séduction » auprès des Communes actionnaires de CVE-Romande Energie (24H du 16.10) afin de les fédérer – ou faut-il comprendre les ficeler- autour d’un projet qui les obligeraient à garder leurs actions, garantissant de facto une majorité du capital de cette entité romande en main publiques. Ce qui m’étonne ce n’est pas tant le principe de vouloir garder une main mise publique légitime sur un secteur sensible, avivé par des expériences de libéralisations sauvages peu rassurantes, mais bien plutôt la manière avec laquelle toutes ces grandes manœuvres se mettent en place. Depuis quand des concurrents potentiels sur un marché économique aussi porteur que celui de l’électricité s’allient-ils ainsi ? Et dans quels buts ? Pourquoi des ressortissants de la droite politique de ce canton deviendraient-ils les chantres du service public et de l’étatisation d’institutions semi-privées ? Qu’est-ce que tout cela cache ? Je m’étonne que le canton qui dit attendre beaucoup du groupe de travail Harmonie (réunissant tous les acteurs du paysage électrique vaudois) où il s’est gentiment offert d’être un médiateur neutre dans les querelles des sociétés électriques (mais peut-on parler de neutralité lorsque son intérêt se trouve essentiellement dans la possession de 35% du capital action d’un de ces acteurs ?), avance déjà des solutions avec l’appui de Lausanne, également partie prenante de la démarche Harmonie, avant même que ce groupe n’ait débattu de cet enjeu majeur et n’aie pensé un futur pour se préparer au mieux à l’ouverture régulée du marché ! Cette attitude consistant à travailler de manière non transparente, sans que tous soient au courant de ce qui se trame, rapidement pour la plupart du temps (les délais de consultations étant toujours plus courts) ne m’inspire que peu de confiance. On voit donc par ces démarches (projet de décret et actionnariat public), un état montrant sa ferme intention de verrouiller une situation, qui n’est actuellement pas favorable aux petits distributeurs communaux dont les marges sont négligeables et qui aspirent à payer leur énergie moins chers afin de répercuter sur leur clients (leurs citoyens) une baisse de tarifs et une transparence voulue par tous. En corollaire: certains profitent du système qu’ils contribuent à mettre en place et n’hésitent pas à générer des bénéfices confortables d’année en année contribuant ainsi à faire croître la valeur de leurs actions ou leurs recettes directes plutôt que de redistribuer une grosse partie de ce gain sur les habitants de ce canton et sur leurs revendeurs. Si le but est de construire un avenir au paysage électrique vaudois alors construisons, mais faisons-le vraiment ensemble de façon choisie et non obligée, avec des règles de respect réciproque et de partage des risques, des pertes comme des gains. Les mariages de force n’aboutissent à rien de bon peut-on lire dans la bouche de l’Etat pour un autre thème lié aux communes mais que je n’aborderai pas ici, alors pourquoi dans ce secteur vouloir le faire ? Contraindre à rester uni n’apporte que des rancoeurs et des frustrations qui tôt ou tard ressurgissent et tournent mal, entraînant tous les protagonistes à la catastrophe, rester uni parce qu’on l’a choisi librement crée des liens bien plus sains et forts sur le long terme, tous les couples vous le dirons ! Puissions nous enfin aller dans ce bon sens et non dans des impasses électriques qui feront que longtemps encore notre cher courant vaudois sera trop cher !
|
Article sur un site de la toile Courrier des lecteurs 24H du 12.10,2005 Courrier des lecteurs 24H frein endet.
|
||||